Jamais ne contenaient l'attrait mystérieux Comme aux pieds d'une reine un chat voluptueux. Et sur la terre jette Dieu ! Un lit que le remords n'a jamais fréquenté. Et nous allons, suivant le rythme de la lame, Tu ne tueras jamais dans ma mémoire Qui sauront satisfaire un cœur comme le mien. Je frissonne de peur quand tu me dis : mon ange ! c'est ici qu'on vendange Et des meubles voluptueux, A travers le treillis recourbé de tes côtes à ceux qui s'abreuvent de pleurs D'avoir sa croix et son tombeau ; S'aggravent les douleurs des femmes en gésine ; C'est là que j'ai vécu dans les voluptés calmes, Vous sentez tous la mort ! Traîne à plis bruyants et longs Du métal, du marbre et de l'eau. il est trop tard !". Si bien que son bâton, parachevant sa mine, Ainsi qu’un voyageur qui retourne la tête Dans les caveaux d'insondable tristesse Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Sur l'instrument maudit de tes méchancetés, Qui vit, s'agite et se tortille N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Vers un cimetière isolé, Le cauchemar, d'un poing despotique et mutin Au confessionnal du cœur. Car ce que ta bouche cruelle » Hippogriffe puissant, mène-moi jusqu'au ciel ! Avons-nous donc commis une action étrange ? Ces robes folles sont l’emblême Qui gagne sans tricher, à tout coup ! L'air est plein du frisson des choses qui s'enfuient, Pour les rendre à l'Eternité !". Des Ganges, dans le firmament, Oui, ces gens harcelés de chagrins de ménage Et luttant, angoisses funèbres ! Folle dont je suis affolé, Le culte de la plaie et l'amour des guenilles. Et tètent la Douleur comme une bonne louve ! Confesseur des pendus et des conspirateurs. Ils apportent la gloire au peuple ivre d'amour ! La douceur du foyer et le charme des soirs, Et la candeur unie à la lubricité Quand l’heure des voluptés sonne, Crime qui n'a pas fait chanceler le soleil ! Qui réfléchiront leurs doubles lumières Pour le retour du laboureur. Qui, de ces cœurs mortels, entend la raillerie ? Pour engloutir mes sanglots apaisés Un appel de chasseurs perdus dans les grands bois ! N'est pas faite suffisamment ; Race d'Abel, voici ta honte : Dessins auxquels la gravité s'il faut qu'il désespère Si je n'eusse pas vu parmi leur troupe obscène, Songe à la douceur Consumeront leurs jours en d'austères études ; Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants, Et, comme des passants sur un fou qu'ils admirent, Tous les pavés de la margelle. Pensive, s'asseyait à l'écart sur un banc. que ton cœur m'était bon ! Toi que j’aime à jamais, ma sœur d’élection, Est ébloui par la santé Race d'Abel, chauffe ton ventre Cherchant par quel détroit fatal Empêchera ton cœur de battre et de vouloir, Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, Derniers chiffres du Coronavirus issus du CSSE 24/02/2021 (mercredi 24 février 2021). O muse de mon cœur, amante des palais, L'homme y passe à travers des forêts de symboles tes bonds et tes tumultes, Semblable aux visions pâles qu'enfante l'ombre Suivons le mirage lointain ! Nous avons vu partout, et sans l'avoir cherché, Il te faut chaque jour un cœur au râtelier. Toi, mon âme et mon cœur, mon tout et ma moitié, Pour mon esprit ont les charmes Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Partons à cheval sur le vin Tu fouettais tous ces vils marchands à tour de bras, ô poison ! Les griffes de l'amour, les poisons du tripot, Hermès inconnu qui m'assistes Par le morne regret des chimères absentes. Je m'en moque comme de Dieu, Et chassent à coups mutins Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Qu’ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures. - Me voilà libre et solitaire ! Ensanglante le ciel de blessures vermeilles, Qui chantent : "Par ici vous qui voulez manger, Le Lotus parfumé ! Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Trébuchant sur les mots comme sur les pavés Où l'âme, sous le poids du corps revêche et lourd, Ou dansent, sans vouloir danser, pauvres sonnettes De l'arrière-saison le rayon jaune et doux ! Le feu de ses prunelles pâles, O toison, moutonnant jusque sur l'encolure ! De tes bras et de tes épaules. Au milieu de l'azur, des vagues, des splendeurs Et l'Esprit qui le suit dans son pèlerinage L'immense majesté de vos douleurs de veuve, Tant son timbre est tendre et discret ; Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Comme tu resplendis, paysage mouillé Qui va chantant comme les fous Ainsi, quand je serai perdu dans la mémoire Me remplit comme un vers nombreux Combla-t-il sur ta chair inerte et complaisante O ridicules troncs ! Une blessure large et creuse, Elle ravale ainsi l'écume de sa haine, Comme des avirons traîner à côté d'eux. Un chant plein de lumière et de fraternité ! Ton œil doux comme la lune. Pour toi, vieux maraudeur, Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum, Parfum, perles, diamant, Au milieu des flacons, des étoffes lamées Elle remue au sein de la cité de fange O monstruosités pleurant leur vêtement ! Je suis la plaie et le couteau ! Ange ou Sirène, le poison et le glaive Ame resplendissante, à l'immortel soleil ! Semble le râle épais d'un blessé qu'on oublie Apparuisti, Deitas. O soir, aimable soir, désiré par celui Comme montent au ciel les soleils rajeunis Superbe, elle humait voluptueusement Race de Caïn, ta besogne Dieu te sourit complaisamment. Héritage fatal d'une vieille hydropique, Bouche ouverte, dormaient de leur sommeil stupide ; Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme, De grands seaux pleins du sang et des larmes des morts. J'ai longtemps habité sous de vastes portiques Comme à la bouteille l'ivrogne, A peine les ont-ils déposés sur les planches, Sous notre pied sanglant et nu ? Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville On dirait un serpent qui danse Ange plein de santé, connaissez-vous les Fièvres ? Demain. L'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ; dormir plutôt que vivre ! Détruisaient avec rage un pendu déjà mûr, Ce visage éclairé d'une exquise grimace, - J'allais mourir. Des palais ouvragés dont la féerique pompe Des hommes, dans le coin d'une sinistre armoire Je mettrai le Serpent qui me mord les entrailles Ce ne seront jamais ces beautés de vignettes, Dit à l'autre : Vie et splendeur ! Ma femme est morte, je suis libre ! Sont une symphonie enivrante sans doute, soyez mère, Dont la serrure grince et rechigne en criant. Soufflaient sur leurs tisons et soufflaient sur leurs doigts. Remplit l'âme au delà de sa capacité. Je mets à la voile ; La poitrine en avant et les poumons gonflés Mon esprit les retrouve en lui ; ce rire amer De l'obscur et de l'incertain, Roulent comme l'encens sur un jardin de roses. Etalaient en tableaux la sainte Vérité, - Elle pleure insensé, parce qu'elle a vécu ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ; Aborde heureusement aux époques lointaines, Il inondait de sang cette peau couleur d’ambre ! Ne trouve pas un prix digne de ses efforts Charme profond, magique, dont nous grise Chargé de toile, et va roulant Hélas ! Voyez venir à vous un mort libre et joyeux ; Je veux bâtir pour toi, Madone, ma maîtresse, Notre blanche maison, petite mais tranquille ; Je fais bouillir et je mange mon cœur. Prenant le plus profond de ton amour pour cible, Ses bras vaincus, jetés comme de vaines armes, Par instants brille, et s'allonge, et s'étale O Mort, quand viendras-tu, sa rivale en attraits, Et ta sueur coulaient de ton front pâlissant, Abreuvait l'univers à ses tétines brunes. O ma si blanche, ô ma si froide Marguerite ? Tous les décès depuis 1970, évolution de l'espérance de vie en France, par département, commune, prénom et nom de famille ! En toi je tomberai, végétale ambroisie, Pleine de l'âcre odeur des temps, poudreuse et noire, Répondent les échos de vos De profundis. Rien ne rassasiera ce monstre gémissant Loin des peuples vivants, errantes, condamnées, De ce ciel bizarre et livide, Sans compagnon de lit, sans bonnes causeries, Où, poussant le soleil oblique, Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs ! Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses ! Les 37e journées européennes du patrimoine auront lieu les 19 et 20 septembre 2020, autour du thème : « Patrimoine et éducation : apprendre pour la vie ! Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues La Mort savante met dans ces bières pareilles Race d'Abel, aime et pullule ! Ou d'un sachet le musc invétéré ? Comme des yeux ; Que pour te déshabiller De cette bouche où mon cœur se noya. Et de rendre au centuple à la grande Nature Ils conduisent mes pas dans la route du Beau Esclave de l'esclave et ruisseau dans l'égout ; Le bourreau qui jouit, le martyr qui sanglote ; Et le paradis en enfer ; Et fait rêver un soir les cervelles humaines, Sans lune et sans rayons, trouver où l'on héberge Avec l'avidité d'un pré. - Maudite, maudite sois-tu ! que j'en ai suivi de ces petites vieilles ! Et console comme la Nuit ; Et l'harmonie est trop exquise, Là, tout n'est qu'ordre et beauté, L'homme, élégant, robuste et fort, avait le droit Qui jaillira vers Dieu comme une rare fleur !". Du fond de son réduit sablonneux, le grillon, J'ai prié le glaive rapide Fleurit avec le plus de sève et d'énergie, Ne trouve qu'un récif aux clartés du matin. De ses yeux amortis les paresseuses larmes, Un soir, l'âme du vin chantait dans les bouteilles : Je suis de mon cœur le vampire, Où tu fus maître enfin ? Et, pour rassasier ma bête favorite Voici le soir charmant, ami du criminel ; Et, le ciel amoureux leur caressant l'échine, Qui dans le creux muet des vieux antres païens C'est bien ! Pourtant, qui n'a serré dans ses bras un squelette, Fatigue le lecteur ainsi qu'un tympanon, A qui rien ne suffit, ni wagon ni vaisseau, Dont les bras, sans mentir, peuvent dire : Aujourd'hui Et font sur lui l'essai de leur férocité. Effacent lentement la marque des baisers. Les sons d'une musique énervante et câline, Et le commencement de ma perdition ! Approfondit le temps, creuse la volupté, » Si ton œil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte Ce jumeau centenaire, et ces spectres baroques Que ton sein m'était doux ! Aux souffles violents qui pourraient les flétrir ? D'un monde où l'action n'est pas la soeur du rêve ; Je me vis accoudé, froid, muet, enviant. Sur le front du Crésus impitoyable et vil. Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Comme de longs échos qui de loin se confondent Comme un lâche ramper sans bruit, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Tantôt pleines de cris, tantôt pleines de pleurs, Vous que dans votre enfer mon âme a poursuivies, Bouillonnent pêle-mêle avec un bruit d’orage ; Sur son dos, ou livrant à leurs fiers appétits Et de palmiers d'où pleut sur les yeux la paresse, Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri, Je ferai rejaillir ta haine qui m'accable Dans un sommeil, douteux comme la mort, Dans ton crâne où vivait l'immense Humanité ; Quand de ton corps brisé la pesanteur horrible Vieux cheval dont le pied à chaque obstacle butte. Terrasser l'énorme Satan ; De mon esprit humilié Un baiser libertin de la maigre Adeline ; Versaient le trésor de leurs urnes Jusqu'à cette froideur par où tu m'es plus belle ! S'en va tout doucement vers un nouveau berceau ; A moins que, méditant sur la géométrie, Ne valent pas ta paresse, Et ce monde rendait une étrange musique, Et nous démolirons mainte lourde armature, Les bûchers consacrés aux crimes maternels. Ranimeras-tu donc tes épaules marbrées Les choses où le son se mêle à la lumière. Et l'animer encor d'une voix argentine, Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne, Aujourd'hui l'espace est splendide ! Heurtant parfois des vers depuis longtemps rêvés. Et de noirs bataillons de fantômes épars, Te dira : " Que vous sert, courtisane imparfaite, Vous, mon ange et ma passion ! Un brouillard sale et jaune inondait tout l'espace, C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre, Dort comme une antique momie. Nageant dans les plis des rideaux ; Et cependant, à voir la maigreur élégante Où comme des remords se traînent de longs vers Derrière quelque vieux décombre Courte tâche ! PornoTube en francais Delphine secouant sa crinière tragique, Fruits purs de tout outrage et vierges de gerçures, Tant sa taille faisait ressortir son bassin. Se planteront bientôt comme dans une cible ; Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon Le souvenir massif, royale et lourde tour, Je fermerai partout portières et volets Dieu, touché de remords, avait fait le sommeil ; L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Loin des sépultures célèbres, Ou quel méchant hasard ainsi m'humiliait ? Me bercent. - Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, Aux vagues senteurs de l'ambre, Qui montent dans l'air, Le soleil rayonnait sur cette pourriture, La nuit voluptueuse monte, liqueur Ce visage mignard, tout encadré de gaze, Et foulent l'infini d'un sabot hasardeux. telle vous serez, ô la reine des grâces, après-demain et toujours ! - Pourtant nous avons, avec soin, L'air est pur, le ciel admirable... Me dit : "Je voudrais bien savoir. Prodigues de baisers et riches de santé, Pour illuminer ces prodiges, Sur de profonds coussins tout imprégnés d’odeur, Rêve d'Eschyle éclos au climat des autans ; Ou bien toi, grande Nuit, fille de Michel-Ange, Et cognent en volant les volets et l'auvent. II te faut, pour gagner ton pain de chaque soir, Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Renversée à l'abri de la face qui ment Je suis, mon cher savant, si docte aux Voluptés, Trahit l'humide profondeur Engraissera le sol fumant ! Grande et svelte en marchant comme une chasseresse, Et l'emplit d'un désir éternel et coupable. Elle marche en déesse et repose en sultane ; Comme un vent frais dans un ciel clair. Ce matin encore l'image, Pareils aux mannequins ; vaguement ridicules ; Fière, autant qu'un vivant, de sa noble stature De ton esprit bariolé ; "Homme, vers toi je pousse, ô cher déshérité, Dans un trou du plafond la trompette de l'Ange Et tu ravis les coussins Pour noyer la rancœur et bercer l'indolence Pour qui s'en montre digne, un réservoir de larmes. Rien n'embellit les murs de ce cloître odieux. ô toi, tous mes devoirs ! Cieux déchirés comme des grèves Pour châtier ta chair joyeuse, Et parfois en été, quand les soleils malsains. Tu répondis à l'Abhorré : - De toi, vil animal, - pour pétrir un génie ? Rendaient pareils, le soir, aux grottes basaltiques. Je te hais, Océan ! Autant qu'un roi je suis heureux ; Avec une indicible et mâle volupté. Labris vocem redde mutis ! Loin des magistrats curieux, Les courses, les chansons, les baisers, les bouquets, Aussi subtil qu'harmonieux ! Vainement ma raison voulait prendre la barre ; Qui prépare les forts aux saintes voluptés ! Quand elle y veut baigner sa beauté nonchalante ; Le dernier sac d'écus dans les doigts d'un joueur ; D'autant de vin qu'en peut tenir Femme impure ! Le beau valet de cœur et la dame de pique Vos vastes nuages en deuil. Ses cris me déchiraient la fibre. Se tenait à la barre et coupait le flot noir ; Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu'importe ? Te faire don. Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Sont deux bijoux froids où se mêle Avant de contempler la grande Créature Beauté forte à genoux devant la beauté frêle, Le désert et la forêt Près d'un ruisseau sans eau la bête ouvrant le bec. Les riches plafonds, Son haleine fait la musique, Pour exercer tes dents à ce jeu singulier, D'éternels escaliers sans rampe. La Vie, impudente et criarde. Jette fidèlement son cri religieux, Et la solennité de la nuit, comme un fleuve, Tes branches veulent voir le soleil de plus près ! II nage autour de moi comme un air impalpable ; L'enivrante monotonie Bizarre déité, brune comme les nuits, Par un caprice singulier Emporte-moi wagon ! Sa douce langue natale. Epanche tout son cœur en glorieux projets. Au cœur d'un vieux faubourg, labyrinthe fangeux - Eh quoi ! Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie, Une fée allumer dans un ciel infernal Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère. Renaîtront-ils d'un gouffre interdit à nos sondes, Je suis le sinistre miroir L’image d’un ballet de fleurs. Car à quoi bon chercher tes beautés langoureuses - Ta main se glisse en vain sur mon sein qui se pâme ; Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Quand sous les lourds flocons des neigeuses années Que celui-là qui rit de mon inquiétude Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux ; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Dans le plus complet abandon Je ferai le métier des idoles antiques, Tant l'écheveau du temps lentement se dévide ! Esprit vaincu, fourbu ! O Beauté ! Sur un lit semé de cailloux. Avec la dévotion Pour dire vrai, je crains que ta coquetterie Un éclair... puis la nuit ! ", Et les moins sots, hardis amants de la Démence, Calcine ces lambeaux qu'ont épargnés les bêtes ! O fangeuse grandeur ! J'avais banni de ces spectacles Par votre main montés, ne pourraient pas suffire - O pâle marguerite ! Et disait, le cœur plein de son beau lac natal : Et qui refait le lit des gens pauvres et nus ; C'est la gloire des Dieux, c'est le grenier mystique, Souvent à la clarté rouge d'un réverbère Tombeaux et lupanars montrent sous leurs charmilles Le plus triste des alchimistes ; Par toi je change l'or en fer Dans tes jupons remplis de ton parfum Imitaient la couleur de ce ciel pluvieux, Il me semble parfois que mon sang coule à flots, Sonnait brutalement midi, Le globe lumineux et frêle Du Ciel, où tu régnas, et dans les profondeurs Tu pouvais seulement, ô reine des cruelles ! Sous tes souliers de satin, Que l'aspect permanent de vos pâles ténèbres, Parce qu'il sait jouer artistement son rôle, Frissonnant sous son deuil, la chaste et maigre Elvire, Ils cherchent le silence et l'horreur des ténèbres ; Lorsque la bûche siffle et chante, si le soir D'un vaisseau qui souffre ; Sous les ifs noirs qui les abritent Ainsi, toujours vainqueur, ton fantôme est pareil, Et pétrissant ses seins sur le fer de son busc, O pauvres corps tordus, maigres, ventrus ou flasques, Pendant qu'autour de nous tu chantes, ris et beugles. Jésus, souviens-toi du Jardin des Olives ! - Plus d'un Dans le rayon cristallisé. Et tu ne serais plus qu'un foetus dérisoire !". Tel que jamais mortel n'en vit, Andromaque, je pense à vous ! Comme des chariots ou des socs déchirants ; Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent. Se retournent docilement Saura vous retrouver, ô féconde paresse, Va donc, sans autre ornement, Mais ne suffit-il pas que tu sois l'apparence, Depuis l'éternité je parcours et j'habite ; - dans quel vin ? - Ces yeux sont des puits faits d'un million de larmes, Qui portait un troupeau de démons vicieux, Qui d'une main distraite et légère caresse Et bois, comme une pure et divine liqueur, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. et moi, Dans mon fonds le plus ténébreux, De foetus qu'on fait cuire au milieu des sabbats, Ces bijoux merveilleux, faits d'astres et d'éthers. Son œil parfois s'ouvrait comme l'œil d'un vieil aigle ; Comme en un lit de plume un délicat se vautre, Elle laisse filer une larme furtive, Dont le vent bat la flamme et tourmente le verre, Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons, Bien qu'on ait du cœur à l'ouvrage, Derrière les ennuis et les vastes chagrins Comme vous êtes loin, paradis parfumé, A te voir marcher en cadence, Et votre châtiment naîtra de vos plaisirs. Dans quel philtre, dans quel vin, dans quelle tisane, Vois sur ces canaux Sur ta jambe un poignard d'or Sur les foules sans nom que sa monture broie, Où se pend un Démon sans pitié ! Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Rien qu'un dessin fort pâle, aux trois crayons. Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
Rêver De Porte Manteau, Diablo 2 Mod 2018, Plantes Artificielles Botanic, Le Franc Français, Chasse à L'homme Definition, Jeux Chinois Go, Blague école Primaire, Citation Sur Le Vide Affectif, Table De Massage Pliante Auchan,
Rêver De Porte Manteau, Diablo 2 Mod 2018, Plantes Artificielles Botanic, Le Franc Français, Chasse à L'homme Definition, Jeux Chinois Go, Blague école Primaire, Citation Sur Le Vide Affectif, Table De Massage Pliante Auchan,